Si jamais mon amour tu me lâches la main
Si jamais mon amour tu veux changer de chemin
Si jamais mon amour tu t’en vas au loin
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Je m’en irai en Irlande noyer mon chagrin
Dans les Pubs de Shannon, de Cork, ou Dublin
Chanter à tue-tête avec d'autres « bois sans soif »
Les laissés pour compte d’une vie sans passion
Je chanterai Molly Malone, Aqueras Montanhas
Je pleurerai des larmes de sang dans la nuit profonde
Alors comment vivrai-je sans toi, la moitié de moi ?
Alors comment continuer sans la moitié de moi ?
Si jamais mon amour tu me lâches la main
Si jamais mon amour tu veux changer de chemin
Si jamais mon amour tu t’en vas au loin
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Là-bas la nostalgie est une sorte de culture
Dans les temps durs, sombres de grande famine
Quelqu’un est partit de chaque famille
Pour faire fortune, ou avoir seulement le droit de vivre
Je les verrai chaque été revenir au pays
Pleurer dans les pubs en écoutant des chansons
Boire des coups et puis rire, rire enfin
Mais moi comment rirai-je sans la moitié de moi ?
Si jamais mon amour tu me lâches la main
Si jamais mon amour tu veux changer de chemin
Si jamais mon amour tu t’en vas au loin
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Je m’en irai en Irlande noyer mon chagrin
Dans les Pubs de Sligo, Galway, Letterkenny
Oublier le gout de toi, oublier le gout du vin
Dans les bières brunes Guinnes ou Kilkenny
Mais jamais non jamais je ne reviendrai à Bushmills
Je n’y aime pas la couleur des trottoirs et des drapeaux
Je n’y pourrai pas soigner les plaies de mon âme
Et puis comment guérirai-je sans la moitié de moi
Si jamais mon amour tu me lâches la main
Si jamais mon amour tu veux changer de chemin
Si jamais mon amour tu t’en vas au loin
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Si jamais mon amour notre histoire s’achève
Si jamais mon amour tu me laisses tomber
Si jamais mon amour tu aimes quelqu'un d'autre
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Vide les enfers, oui ! Ils seront déserts
Par ce que tous les démons, là-bas, m’habiteront
Je marcherai sur les traces de ma folie
Honteux de sombrer, de combattre sans force.
Si jamais mon amour tu veux changer de chemin
Si jamais mon amour tu t’en vas au loin
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Je m’en irai en Irlande noyer mon chagrin
Dans les Pubs de Shannon, de Cork, ou Dublin
Chanter à tue-tête avec d'autres « bois sans soif »
Les laissés pour compte d’une vie sans passion
Je chanterai Molly Malone, Aqueras Montanhas
Je pleurerai des larmes de sang dans la nuit profonde
Alors comment vivrai-je sans toi, la moitié de moi ?
Alors comment continuer sans la moitié de moi ?
Si jamais mon amour tu me lâches la main
Si jamais mon amour tu veux changer de chemin
Si jamais mon amour tu t’en vas au loin
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Là-bas la nostalgie est une sorte de culture
Dans les temps durs, sombres de grande famine
Quelqu’un est partit de chaque famille
Pour faire fortune, ou avoir seulement le droit de vivre
Je les verrai chaque été revenir au pays
Pleurer dans les pubs en écoutant des chansons
Boire des coups et puis rire, rire enfin
Mais moi comment rirai-je sans la moitié de moi ?
Si jamais mon amour tu me lâches la main
Si jamais mon amour tu veux changer de chemin
Si jamais mon amour tu t’en vas au loin
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Je m’en irai en Irlande noyer mon chagrin
Dans les Pubs de Sligo, Galway, Letterkenny
Oublier le gout de toi, oublier le gout du vin
Dans les bières brunes Guinnes ou Kilkenny
Mais jamais non jamais je ne reviendrai à Bushmills
Je n’y aime pas la couleur des trottoirs et des drapeaux
Je n’y pourrai pas soigner les plaies de mon âme
Et puis comment guérirai-je sans la moitié de moi
Si jamais mon amour tu me lâches la main
Si jamais mon amour tu veux changer de chemin
Si jamais mon amour tu t’en vas au loin
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Si jamais mon amour notre histoire s’achève
Si jamais mon amour tu me laisses tomber
Si jamais mon amour tu aimes quelqu'un d'autre
Si jamais, Si jamais oh mon amour
Vide les enfers, oui ! Ils seront déserts
Par ce que tous les démons, là-bas, m’habiteront
Je marcherai sur les traces de ma folie
Honteux de sombrer, de combattre sans force.