Maman (Joyeux Anniversaire)
En ce jour béni qui t'a mis au monde,
Au delà du ciel, à travers les nuages,
Une pensée, toi qui partie sans bagage,
L'horloge signe les aiguilles profondes.
Dans mon cœur aux milles ondes,
Ton visage gravé sur le sillage,
L'amour de tes mots en maquillage,
Ce clair obscur encore vagabonde.
Il n'y a aucun Dieu, rien à le seconde,
Celui que l'on prie avec ferveur au grillage,
Au pied du mur invisible au voyage,
Les maux restent en ton aura féconde.
Les cieux dessinent la mappemonde,
Où ton Nom s'habille de feuillage,
Une rose rouge posée au dernier péage,
Mes bras sur toi forme une ronde .
Ô jour de ma vie, mémorable où la rotonde,
Couvre à jamais ton corps, tel coquillage,
Mère de mes jours, tel discours en babillage,
Madré Mia de mes nuits telle sonde.
LILASYS.
En ce jour béni qui t'a mis au monde,
Au delà du ciel, à travers les nuages,
Une pensée, toi qui partie sans bagage,
L'horloge signe les aiguilles profondes.
Dans mon cœur aux milles ondes,
Ton visage gravé sur le sillage,
L'amour de tes mots en maquillage,
Ce clair obscur encore vagabonde.
Il n'y a aucun Dieu, rien à le seconde,
Celui que l'on prie avec ferveur au grillage,
Au pied du mur invisible au voyage,
Les maux restent en ton aura féconde.
Les cieux dessinent la mappemonde,
Où ton Nom s'habille de feuillage,
Une rose rouge posée au dernier péage,
Mes bras sur toi forme une ronde .
Ô jour de ma vie, mémorable où la rotonde,
Couvre à jamais ton corps, tel coquillage,
Mère de mes jours, tel discours en babillage,
Madré Mia de mes nuits telle sonde.
LILASYS.